Que je me souvienne, je n’ai jamais cru -et on ne m’a jamais fait croire- à ces mythes qui disent que ce sont les cigognes qui amènent les enfants d’Alsace (d’ailleurs chez moi on dit que c’est de Paris, qu’elle les ramènent), que les petites filles naissent dans les roses et les garçons dans les choux. (...)